jueves, 22 de mayo de 2014
Alors que la tristesse se justifie tant par le raisonnement que par l'observation, la joie ne repose sur rien, elle relève de la divagation. Il es impossible d'être joyeux par le pur fait de vivre ; on est triste en revanche dès qu'on ouvre les yeux. La perception comme telle rend sombre, témoin les animaux. Il n'est guère que les souris qui paraissent être gaies sans effort......
La vie de l'homme oscille, comme un pendule, entre la douleur et l'ennui.....
Toute douleur, toute passion engraisse l’œuvre, gonfle le poème. Et parce que le poète est déchiré, il est aussi pardonné....
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